"Si je devais ramener ma vie à un seul fait, voici ce que je dirais : j'avais sept ans quand le facteur m'a roulé sur la tête...."
La route ne fut pas longue avant d'arriver dans un petit coin de paradis. Il existe des jours ou tout disparait et on aimerait que les choses reste tel quel sont pour toujours. Ce week end était comme ça, magique. Alors quand je ferme les yeux je nous revois a papoter dans le jardin avec nos glaces et sa me fait sourire. Je parle avec toi de tout se dont je ne parlerais a personne, mais c'est pas important, parce que même parler de tout ça, ne me gâche pas une micro seconde.... Le temps était juste sublime, le soleil sur ma peau a laisser de légère trace brune et depuis je n'ai plus froid. Le vent a décoiffé mes cheveux et le sable c'est faufiler dans toute mes affaires comme si j'emportais un boue de la plage avec moi. Au font j'aurais bien aimée y rester encore et encore, dormir, manger, lire et se dire que le temps passe mais qu'il passe mieux. Mieux, parce qu'il est doux, qu'il ne fait plus mal, qu'il ne fait plus peur. J'ai des tonnes de choses qui me passe par la tête et je crois que les exprimées prendrais des heures, voir plus. Il faudrait juste fermer la parenthèse et dire : c'était magique, a quand remettons ça ? Et puis rajouter : maintenant c'est fini et on reprend le cours des choses, les choses réelle les choses qui font peur, et celle qui font mal. Si je pouver je promettrais que le temps serait toujours doux avec moi et que rien ne fera plus jamais peur et mal... Mais je sais que cela est impossible. Et même si c'était possible, avec qui je le partagerais ? Allons bon. Arrêtons de rêver. Ou alors repartons lire et se remplir la tête d'histoire d'amour, d'histoire fantastique, de magie a n'en plus finir. Jusqu'a s'endormir en rêvant soit même d'être le héros d'une de ces folles histoires. Si j'étais une jeune fille de bouquin? Je serais Camille. Et pourtant je n'ai aucun tallent pour le dessin.
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