Le Bonheur est une récompense qui vient à ceux qui ne l'ont pas cherchée.
ALAIN
Je pourrais simplement raconter ce qui c'est passé ces derniers
jours dans ma tête ou je pourrais mentir et ne rien dire. Je crois que
je mentirais si je disais que j'ai réussi à avoir une seule pensée
convenable durant cette semaine. Certes certaines choses se sont
confirmer. Et ça fait toujours un peu mal, on ne devrait avoir qu'une parole. Quand je dis : C'est la fin. C'est qu'il n'y a rien après, maintenant je le saurais. Revenons en a nos pensées. Il faut avouer que j'ai trouvée un contrôleur de pensé très éfficasse, en sa présence mon esprit de contradiction, de rébellion et de question fait une pose et mes pensées enfantine reviennent au gallos. Il ne faut pas grand chose pour se dire que ça c'est le bonheur. Il faut juste les bonnes personnes et un peu de soleil, il faut de l'amour et des sourires. On a tous tout ça autour de nous, mais on est aveugle. Aveugle car on ne voit pas tout ça, on ne se rend pas bien compte que le bonheur ça peut être des tonnes de choses. Courir dans la mer, marché main dans la main avec ce garçon sans qui on serait perdu sur la plage, se réveiller en pleins de milieux de la nuit pour parler de tout ce qu'on ne dit jamais le jour, rire au éclats parce qu'un ami a fait une gourde, avoir les larmes aux yeux parce qu'on ne rentrera pas avec le chiots qui est dans la vitrine. Tout ça c'est des hauts et des bas, et ce qui crée notre sentiment de bien être. Il faut équilibrait les choses, un peu de douleur , un peu de joie et voila vous avez votre bonheur sans même vous en rendre compte. Et quand ça vous tombe dessus je peu vous confier quelque chose, c'est comme revivre. se réveiller un matin et voir tout d'une autre manière. Notre herbes et verte et les nuages tellement blancs qu'on aimerait les attraper. Mais faite attention, tout cela ça peu s'éffrondrer comme un jeux de carte, un cou de vent et il s'écroule. Un cou de vent et je m'écroule?
Le vent va bientôt ce levée et même si je préfère m'accrocher fort aux présent, jouir de tout ces instants magique qui ne dureront qu'une seconde mais qui resteront dans ma tête à jamais. Je sais qu'il se lève et qu'il m'attend au tournant. Avant j'aurais ouvert les yeux, je l'aurais regarder me foncer dessus, j'aurais tremblé de peur. J'aurais même pu me laissé avoir partir pour qu'ils ne m’atteignent pas Mais pour moi maintenant c'est fini, mes yeux ils resteront fermer et le vent pourra soufflet il ne me fera pas tomber n'y fuir. Et a l'instant fatidique je serais la face à lui, le sourire au lèvre quoi qu'il arrive. Je ne regretterais rien, les regrettes sont inutile dans une vie si courte que la notre. Quoi que le vent me dise, ou qu'il m’emmène je n'ai plus peur. Tu m'as un peu bousculer, tu m'as un peu sorti de mon sommeil qui n'en finissait plus, alors je te fais confiance. Après toi, il n'y aura plus de confiance.Parce que après c'est la fin. On ne profite pas assez du temps qui passe, on ne profite pas assez des mains qui tiennent les n'autres, des sourires qui font qu'on souris, des fou rire qui font qu'on a le hoquet Mais tout ça c'était avant, avant quand le vent me faisait trembler. Maintenant, c'est a lui de trembler.
Le vent va bientôt ce levée et même si je préfère m'accrocher fort aux présent, jouir de tout ces instants magique qui ne dureront qu'une seconde mais qui resteront dans ma tête à jamais. Je sais qu'il se lève et qu'il m'attend au tournant. Avant j'aurais ouvert les yeux, je l'aurais regarder me foncer dessus, j'aurais tremblé de peur. J'aurais même pu me laissé avoir partir pour qu'ils ne m’atteignent pas Mais pour moi maintenant c'est fini, mes yeux ils resteront fermer et le vent pourra soufflet il ne me fera pas tomber n'y fuir. Et a l'instant fatidique je serais la face à lui, le sourire au lèvre quoi qu'il arrive. Je ne regretterais rien, les regrettes sont inutile dans une vie si courte que la notre. Quoi que le vent me dise, ou qu'il m’emmène je n'ai plus peur. Tu m'as un peu bousculer, tu m'as un peu sorti de mon sommeil qui n'en finissait plus, alors je te fais confiance. Après toi, il n'y aura plus de confiance.Parce que après c'est la fin. On ne profite pas assez du temps qui passe, on ne profite pas assez des mains qui tiennent les n'autres, des sourires qui font qu'on souris, des fou rire qui font qu'on a le hoquet Mais tout ça c'était avant, avant quand le vent me faisait trembler. Maintenant, c'est a lui de trembler.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire